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Festival des Baleines : L’accès vers Sainte Marie facilité

Festival des Baleines : L’accès vers Sainte Marie facilité

 

Une opportunité de voyager. Les organisateurs du « Festival des Baleines » n’épargnent aucun détail pour la deuxième édition de l’évènement qui aura lieu le 2 au 10 juillet 2016 à Sainte Marie. Pour le transport des visiteurs par exemple, « les fréquences des compagnies aériennes tant pour arriver à Madagascar que sur l’Île Sainte Marie ont été plus que doublées. Nous aurons un avion par jour et deux fréquences si nécessaire », rapporte les organisateurs. Pour ceux qui ne peuvent pas se permettre de recourir au transport aérien qui est largement plus cher que les autres moyens de transport, des transferts seront organisés à partir d’Antananarivo via bus puis bateau avec un frais de 170.000 MGA par personne pour l’aller et retour.

Arriver sur place, les visiteurs auront droits à différentes activités. « Ce festival haut en couleur » (carnaval, concerts…) comporte de nombreuses animations tant culturelles que sportives. Outre les tournois de soccer et pétanque, il est possible, et vivement conseillé, aux particuliers de s'inscrire aux compétitions de trail (45 km et 10 km) et VTT (45 km – 35 km et randonnées familiales) », indique le comité d’organisation. Quant aux artisans qui souhaitent mettre en valeur leurs produits, « un village du festival » sera aménagé à cet effet. Et pour le plaisir des yeux, les stands seront construits en matériaux naturels, régulièrement utilisés pour la construction des maisons à Sainte Marie. Une manière aussi de mettre en avant la culture locale.

Outre le Festival en soi qui promet d’être très festif et riche en événement, le « Festival des baleines » représente également une vraie opportunité pour les touristes et plus particulièrement les locaux de faire la découverte de l’Île Sainte Marie. Cette île fait, en effet, partie des destinations phares de Madagascar grâce à ses forêts primitives, ses espèces florales, ses cascades, ses fonds sous-marins et ses baleines à bosse. Des richesses que la majorité des malgaches, même ceux qui ont les moyens de voyager, n’ont pas encore profité.

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